Un cadre intimiste, mêlant bois blond et pierre de Paris. Assis au comptoir (9 places + 3 tables de 2 personnes), on observe, en dégustant des maki de tartare de thon mi-gras, les gestes précis du chef Jun Yoshikawa préparant nos 6 (petits) sushis : thon rouge, dorade royale, bar, grondin, truite mi-cuite, chinchard. Des poissons de pêche bretonne et normande, maturés entre 5 et 8 jours pour les 4 premiers, accompagnés d’une soupe miso. Le dessert n’est pas compris dans ce menu à 38 €. Il s’agit de yokan à la pêche provenant de Kintaro Café. À midi sont aussi proposés un menu Chirashi (38 €) et un menu Sashimi (32 €). Le soir, « Omakase » à 88 € (2 entrées, 1 soupe, 10 sushis, 1 temaki, 1 dessert). On a beaucoup aimé la déco, les céramiques et le poisson en papier noir ajouré comme du métal qui veille sur le chef d’un air… pas commode. 

© Sophie Gallé Soas
© Sophie Gallé Soas
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