S’il est un comptoir ramen parisien qui rappelle le Japon, c’est bien celui de Naritake, situé dans le quartier japonais de la rue saint-anne, en rude concurrence avec plusieurs dizaines d’autres ramen-ya. Ici, le décor en bois et acier, où les fumées des bouillons saturent l’atmosphère, rappelle furieusement les petits comptoirs nippons où les salarymen viennent étancher leur soif de nouilles et d’épais bouillon.
La carte est d’ailleurs simpliste : choix du bouillon (soja ou miso – vendu 13,5€ sans ajout), puis de sa consistence (de léger à très épais), ajout éventuel de suppléments (oeuf mariné, algues wakamé, pousses de bambou, tranches de rôti de porc, poireaux épicés) et le tour est joué ! L’option « grande portion » se négocie 3,50, presque le même pris qu’un grand bol de riz.