Étonnant croisement des cultures que symbolise le restaurant « Mr Nakamoto au Mondrian », dans le cadre policé d’un hôtel de luxe cannois. Le concept ? Un établissement branché à la mode du New York des années 1950, qui concentrerait toute la bonne société artistique et bourgeoise du moment. La carte ? D’inspiration japonaise, bien sûr, au vu du nom de l’établissement, mais aussi une ode aux restaurants américains de « steak & seafood ».
Le résultat, très élégant comme une toile de Mondrian, est en petites touches : japonaise, avec sushi et sashimi, à la pièce ou en plateaux ; américaine, avec de grandes salades Cobb ou Caesar, du black angus grillé avec des broccolini et des poissons ou coquilles de saint-jacques en sauce.