Direction Bordeaux, où le restaurant Akashi accueille sa grosse vingtaine de couverts dans un cadre bourgeois moderne —idéal pour cette capitale du vin qui a une si longue histoire avec la gastronomie française. Aux fourneaux, on retrouve un chef japonais qui a fait ses armes dans la région, et propose une cuisine traditionnelle française sans beaucoup prendre le détour d’une fusion avec sa culturelle d’origine.

A midi, le petit menu à moins de 30€ a été pensé pour les déjeuners d’affaire, avec trois temps : galette de pomme de terre avec crabe en rémoulade ; rouleau de truite et gambas ou gelée d’algue sauce à l’aillet ;  moelleux à la châtaigne, glace vanille. Il change chaque semaine, au gré du marché. A la carte, le soir, compter 15€ l’entrée (cromesquis de boeuf effiloché, saint-jacques au thé vert), 25€ le plat environ (poisson en papillote et langoustine, thon mi-cuit à l’unilatéral au quinoa, noix de ris de veau, pithiviers végétarien) et moins de 10€ pour de généreux desserts.