Après un passage chez Olivier Bajard ou au Plaza Athénée, Emiko Sano rend hommage à son grand-père Gensaku Sano, parti en Europe apprendre l’art du chocolat et revenu en 1942 ouvrir une petite boutique dans la ville de Hakata. Elle unit les saveurs japonaises qu’elle a héritées de ses ancêtres à l’esprit qu’elle a cultivé en France, pour donner naissance à une toute nouvelle expression, dans cette même ville qui a inspiré son grand-père, puis son père…